Deux lauréats français et deux lauréats américains disposaient au moment de la récompense d'une double nationalité. L'apatride Alexandre Grothendieck, formé en France et récompensé en 1966, est compté parmi les lauréats hexagonaux. Malgré son refus, le prix de Grigori Perelman en 2006 s'ajoute aux victoires russes.